jeudi 1 octobre 2015

Les pitoyables menaces de M. Passi


Dans son impuissance à faire face aux critiques de l’opposition contre sa politique néfaste pour la commune et ses habitants, M. Passi est incapable d’opposer des arguments pour sa défense.
Il brandit des menaces sans effet espérant ainsi éteindre le débat.
Comme pour le reste de son « action », cela n’a aucun effet.

Son appartement de l’Orée du Rhône en 2005

Il a commencé à le faire dès 2005 quand l’association des contribuables a signalé au procureur de Lyon l’achat de son appartement dans un immeuble construit avec l’aide financière indirecte de la commune qui avait payé la démolition des bâtiments vétustes situés sur le terrain vendu au promoteur privé.
Complètement terrifié par cette juste action d’une association de défense des contribuables dont je suis aujourd’hui le président, il avait menacé à plusieurs reprises de porter plainte en diffamation, ce qu’il n’a jamais fait puisque diffamation il n’y avait pas !
Sur ce dossier, lire le livre « Les « Affaires givordines » gratuitement sur écran en cliquant :

Le tract injurieux de M. Saadna de 2010

Plus tard, en 2012, alors que Jean-Marc Bouffard, élu de l’opposition du Défi givordin, exposait en séance du conseil municipal le fait que M. Saadna, alors adjoint au maire, avait obtenu du conseil général une subvention de 1000 euros du conseil général pour son association « Faire comme à Givors », association qui avait publié un tract injurieux contre les élus de l’opposition. M. Passi a d’abord menti en disant qu’il n’était pas au courant (or après une longue enquête nous avions obtenu un dossier complet qui montrait, preuves à l’appui que le conseiller général M. Passi lui-même avait demandé cette subvention) et M. Saadna qualifiait la démonstration de M. Bouffard de mensongère. Il l’a même publié dans la presse locale. M. Passi a alors exhorté M. Saadna de porter plainte en diffamation, ce qu’il n’a jamais pu faire puisque tout ce qui avait été dit était la stricte vérité. A cette époque, j’avais fait un signalement au procureur sur cette affaire, et le procureur a ordonné une enquête judiciaire qui vient de se terminer. Messieurs Passi et Saadna ont été convoqués par l’officier de police judiciaire pour cette affaire. Nous avons en notre possession, bien-sûr, l’enregistrement vidéo des débats en conseil municipal qui attestent ce que j’écris ici.
Sur ce dossier lire l’article de l’association de défense des contribuables :

Les irrégularités de sa campagne électorale de 2014

Il a récidivé à plusieurs reprises pendant la campagne électorale, alors qu’il lui était reproché de ne pas respecter le code électoral, notamment en apposant des affiches dans les halls d’immeuble, affiches appelant à des réunions de sa liste. Aucune plainte en diffamation n’a été déposée, confirmant d’ailleurs ainsi la justesse de ces accusations.
Voir par exemple les irrégularités de la campagne de M. Passi en 2008 :

Mes soi-disant « propos injurieux » du conseil municipal du 28 septembre 2015

Lors du dernier conseil municipal, Michelle Palandre faisait un exposé argumenté et précis concernant les garanties d’emprunt que M. Passi demandait au conseil municipal d’accorder à Givors développement, et pendant son exposé, des élus de la majorité siégeant à la tribune ne cessaient de l’interrompre en manifestant une mauvaise foi. Légèrement agacé par cette attitude impolie et antidémocratique, je m’écriais à la cantonade : « Faut arrêter de jouer au  con »…. Je cite de mémoire, l’enregistrement vidéo du conseil montrera le contenu exact de mes propos.
Il faut savoir que M. Passi était alors en grande difficulté face à la pertinence de l’exposé de l’élue de l’opposition qui déconstruisait pièce par pièce les délibérations concernant Givors développement.
Complètement désemparé, et avouant lui-même qu’il ne comprenait rien à la situation, il se leva et suspendit la séance !
Lorsqu’il la reprit dix minutes plus tard, il ne put qu’avouer des doutes sur le caractère soi-disant injurieux de mes propos…
Je pris alors la parole, regrettant effectivement la familiarité de mes propos, mais insistant sur le fait qu’en aucun cas ils n’étaient injurieux, contrairement à ceux de M.Khouatra qui avait qualifié de « délire » une intervention que j’avais faite sur l’évolution de la délinquance  lors d’un conseil municipal précédent. Je m’étonnais que M. Passi n’ait pas alors, également, suspendu la séance et avait laissé M. Khouatra m’insulter.
Plus tard au cour de la séance, un membre du public se mit à insulter M. Mélliès à haute voix sans que M. Passi, président de séance n’intervienne pour faire cesser cette grave atteinte à la démocratie.
Voir la vidéo au cours de laquelle M. Khouatra a traité mon intervention de « délire » :

Si vous ne parvenez pas à visionner la vidéo, cliquez sur le lien :
VIDEO

Voilà toute la longue histoire des menaces de plaintes en diffamation de M. Passi jamais suivies d’effet, « arme » pitoyable qu’il utilise quand il n’a plus aucun argument contre ceux de l’opposition. 


 On comprend d’ailleurs que M. Passi soit sur les nerfs, car la mairie de Givors est sous le coup de trois enquêtes judiciaires du procureur de Lyon :